Mars attacks ! đŸ’« đŸȘ ☄

★ LETTRE DE JEAN

Forest, le 1 mars 2024

 

Ma comĂšte, mon systĂšme solaire,

Ça gaze ?

De retour d’une odyssĂ©e dans l’espace pour un stage d’arts martiens en non-mixitĂ© choisie, je reprends viteuf ma plume pour t’écrire un mot (ma grand-mĂšre n’est pas morte et j’ai encore le feu 🚀).

Mars fonce droit sur nous avec son printemps, son ramadan, et par ici, une scintillante constellation d’évĂ©nements. (note pour plus tard : mollo sur le lyrisme.)

Moi ce matin, j’ai envie de te montrer le BRASS en vue satellite : imagine une petite patate qui clignote et qui ondule. En t’approchant, tu aperçois une scĂšne avec un concert-ovni, des gosses qui filent Ă  travers le bĂątiment comme des fusĂ©es, des espaces et des temps de dĂ©compression, des papotes avec le public / en Ă©quipe oĂč ça sonde l’air du temps (ça cause d’appropriation culturelle, de sans-chez-soirisme, de violences sexistes et sexuelles, de la place de la nature en ville
). Au milieu des trajectoires, des tĂ©lĂ©scopages et des rĂ©volutions, une machine Ă  cafĂ© autour de laquelle tout ce gloubiboulga percole. Pour le dĂ©tail de ce qui s’y passe (j’oublie toujours qu’on est lĂ  pour ça), tu peux voir plus bas.

Sans vouloir tirer de plans sur la moquette, je pense que quand tu recevras cette lettre, je me serai de nouveau Ă©clipsé·e quelque part dans le cosmos (on me propose un stage « pole dance et mĂ©ditation transcendantale » dans un nid Ă  poussiĂšres d’Ă©toiles). Tiens-toi prĂȘt·e Ă  recevoir une attaque sauvage de bisous propulsĂ©s depuis lĂ -haut Â đŸ’«

Ton hamsteroĂŻde

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