▶︎ PAYE CE QUE TU PEUX (uniquement en ligne) à partir de 7€ / Prix suggéré 10€ · Sur place: 12€ · Article 27 accepté
▶︎ Configuration : debout
♦ Pour que le BRASS soit toujours plus inclusif, engageons-nous contre les violences sexistes et sexuelles. En savoir plus sur notre position ICI !
♦ Attention cette soirée pourrait comporter des éclairages stroboscopiques.
#synthé modulaire #hypnotic krautrock #onirique #bagpipes
Le groupe bruxellois Angie Schaeffer réunit Jérémy Michel au synthétiseur modulaire, Ofer Smilansky aux synthés et effets, Yannick Dupont à la batterie et Ruben Orio aux percussions et effets.
Angie Schaeffer est un être mystique, une force motrice. La musique du groupe est une expression de ses pensées et de ses peurs alors qu’Angie se révèle à eux par fragments, à travers des visions et des rêves, pour qu’ils l’aident à se soulager de son fardeau. Les quatre instrumentistes ne sont que des transmetteurs de la lourde charge qu’Angie leur confie. Sombre et rêveuse, entraînante et rythmée, envoûtante et engageante.
Pour cette occasion spéciale, ils dévoileront leur premier opus « Distance grows short », sorti sur Thin Consolation (K7/Digital).
▶︎ Slumberland
Le musicien, compositeur et fabricant d’instruments Jochem Baelus livre depuis 2013 un krautrock/post punk obscur et hypnotique, coloré d’exotisme distordu. Le son tactile de Slumberland est généré par une batterie de machines à coudre, de projecteurs de films et d’autres objets mécaniques démontés. L’année dernière, Jochem Baelus a construit une nouvelle installation sonore inédite qu’il emmène en solo sur les routes. Attendez-vous à des bourdons bruyants de «cornemuses» motorisées, accompagnés de compositions fascinantes, mélodiques et minimales, ainsi qu’à un calme absolu.
▶︎Sara Atka & DjuLee (DJ set)
Colleuses d’images et de musiques, comparses de longue route, elles feront chanter les platines en passant par des musiques rock n’roll du grand nord, du post-punk et de la cold wave de tous temps. Comptez sur elles pour faire des détours dans des contrées électronique mélodique arabique et germanique, sans faire impasse sur les love songs décalées. Alors, let’s dance !