Le Wild Classical Music Ensemble est le plus sauvage des sextets belges. Créé en 2007, le projet, pas classique pour un balle, nait de la rencontre de cinq artistes atteints de déficiences mentales, d’autisme ou de trisomie et du musicien Damien Magnette, pour ce qui devait être un atelier d’improvisation pédagogique.
Le projet, évidemment, a dépassé son cadre et les envies de chacun ont emmené ce groupe en devenir sur la voie de la musique professionnelle…
Maintenant mué en groupe de punk expérimental, Wild Classical Music Ensemble évolue sous l’impulsion de Damien, qui a fini par accepter un rôle de chef d’orchestre que le reste des musiciens désiraient lui donner.
Après des débuts discographiques en 2010, le groupe sort un deuxième album sous l’influence du guitariste, Kim Verberke, fana inconditionnel des Pink Floyd et de Sébastien Faidherbe, percussionniste inspiré par la rythmique des films d’actions.
Une release party était envisagée en octobre 2019 et se transformera en running gag après non moins de 5 reports à ce jour… Mais cette fois vous connaîtrez la chute!
Après quelques aventures dans les scènes de l’underground européen, le griot burkinabé Kaito Winse et le batteur Benjamin Chaval (Bargou 08, Le jour du seigneur) invitent Nico Gitto (Why the Eye, Zoft…) pour créer un nouveau terrain de jeu. Les voilà prêts à suivre le marigot où il se déplacera, en fonction des changements climatiques. Après une première série de concerts cet été, le trio pose sa base au BRASS pour quelques jours de résidence, avant de décharger sur vous toute l’énergie fraîchement emmagasinée et repartir sur la route, libre comme l’air.
Un album enregistré en octobre 2020 sortira sur le label GLITTERBEAT en juin 2022.
▲ Ambiance musicale assurée par Charlotte Bonamour de Super Fourchette (havre dédié au post punk et à la bonne bouffe) et de Tuvalu (groupe de pop psychédélique et post punk bruxellois).