▶︎ Tarif PAYE CE QUE TU PEUX à partir de 7€ en prévente en ligne (prix suggéré 10€)
▶︎ Tarif sur place : 12€
▶︎ Configuration assise
♦ Pour que le BRASS soit toujours plus inclusif, engageons-nous contre les violences sexistes et sexuelles. En savoir plus sur notre position ICI !.
#solos #paysages sonores #enivrant #brusselsartists
Le label By the Bluest of Seas a été créé en 2020 par la photographe bruxelloise Beata Szparagowska et le passeur de musiques Philippe Delvosalle, pour faire dialoguer des photos en réponse à de la musique, le plus souvent instrumentale et liée aux mondes de l’improvisation ou des paysages sonores.
À l’occasion de la sortie de « Collines / Racines » de Gwen Sainte-Rose, 3 concerts en solo d’artistes liés au label se joueront au BRASS !
Rarement le terme « paysages sonores » ne semble aussi approprié que pour « Collines » et « Racines », ces deux longues pièces envoûtantes pour violoncelle et Loopstation, respectivement inspirées par les paysages de Gaume et de la Forêt de Soignes. Gwen Sainte-Rose superposera en live les strates sonores de ses compositions et sculptera la matière sonore. Elle aura aussi à cœur de partager avec vous la sortie d’un CD lové dans un coffret en bois qui, comme un petit cabinet des curiosités, renfermera aussi de multiples inserts photographiques de Beata Szparagowska et de la graphiste Corentine Jaunard, ainsi que de petits objets (plume, caillou, feuille, mousse, etc.) glanés dans la nature par Gwen et ses acolytes.
Une projection concoctée ensemble par Gwen Sainte-Rose et Beata Szparagowska accompagnera le concert.
On connait Thomas Olbrechts depuis plus de vingt ans comme le saxophoniste alto du trio de musique improvisée Dry Speed (un LP sur By the Bluest of Seas en 2023). Lors de la soirée, il jouera un set solo et entièrement acoustique, en écho à ses enregistrements en solitaire dans une église et une maison moderniste d’une île du Lac de Côme (« Inertia », Seminal Records 2018) ou dans un centre culturel à l’architecture brutaliste de Dilbeek (« Westrand », Huis 2020). Les allers-retours entre la respiration du musicien, les silences, le son et la réverbération des espaces est au centre de sa pratique.
Lors de sa sortie sur By the Bluest of Seas (« Trudge Lightly », 2020) on avait découvert Pak Yan Lau dans un dialogue très inspiré et complice avec le contrebassiste américain Darin Gray. Mais au fil des années, et depuis bien plus longtemps que 2020, on croise la musicienne bruxelloise tant en quintet (Bakunawa), en quartet (Going), qu’en duo (avec Chris Corsano, Audrey Lauro ou encore Mette Rasmussen)
Elle se produira en solo au BRASS, à partir de pianos jouets, de tiges métalliques résonnantes ou de jeux inventifs pour faire sonner de manière inspirante la céramique, le verre ou même l’eau… elle nous captive à chaque fois.
